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mardi 1 décembre 2009

Une invitation google wave offerte !

 

google_wave_logo

J’ai une invitation (gratuit) pour google wave à offrir. déjà un cadeau de noël…

Mon choix sera arbitraire donc pas de recours possible !

Pour me la demander laisser un commentaire à cet article avec votre mail et motivation.

Merci

Johanny

mardi 17 novembre 2009

Le store photovoltaïque

Pour lire l’article complet: www.lemoniteur.fr

Contrairement aux panneaux solaires, elle utilise la technologie de cellules à couche mince (1um) par pulvérisation de silicium. Les cellules photovoltaïques sont ultraminces (inférieures à 1 mm) et légères (900g/m2), de type silicium amorphe (Asi). Grâce à ce procédé, l'énergie utile à sa fabrication est nettement inférieure à celle qu'implique un panneau rigide.
La lumière projetée sur la toile se transforme en énergie grâce aux cellules photovoltaïques extrêmement fines et souples intégrées dans la toile. Les cellules couvrent environ de 60 à 98% de la surface de la toile. Les électrons de la toile, en se mettant en mouvement, créent un courant électrique injecté dans le réseau par l'intermédiaire d'un onduleur. L'électricité ainsi générée peut alors directement être revendue à EDF à un tarif avantageux .
Afin d'optimiser la production d'énergie et d'allonger la durée de vie des cellules, un moteur asservi par une centrale météo actionne le store lors d'éclaircies et l'enroule lors d'épisodes de vent (ceci lorsque la température est supérieure à 2°C, pour éviter l'actionnement par conditions givrantes). L'enroulement du store est rendu possible grâce à la souplesse des cellules.
Sur la base d'un ensoleillement de 1000w/m², la production du store est estimée à 40Wc/m².
Pour l'heure, les premiers stores photovoltaïques devraient être lancés sur le marché en 2010. Ils coûteront deux fois plus qu'un store classique, avec un retour sur investissement estimé par Dickson de 6 à 7 ans.

 

Johanny

mercredi 30 septembre 2009

La (mauvaise) idée de France Telecom

Pour lire l’article complet:

Frappée par une vague de 24 suicides en 18 mois, l'entreprise prévoit d'ouvrir un "le plus sécuritaire possible" où les fenêtres seront bloquées, les terrasses et les passerelles inaccessibles. "Parler d'immeuble anti-suicide est exagéré", commente France Télécom.

Contacté par le nouvelobs.com, un porte-parole de France Télécom confirme qu'il sera "impossible d'ouvrir les fenêtres à cause de la climatisation". De même, "une réunion du CHSCT a obtenu, la semaine dernière, de renforcer la sécurité des passerelles qui relient différentes parties de l'immeuble en rehaussant les parois, pour éviter tout accident".
Toutefois, "parler d'immeuble anti-suicide est exagéré", précise le porte-parole. Il présente plutôt un "nouveau bâtiment moderne où les conditions de sécurité seront scrupuleusement respectées, mais sans mesures particulières" par rapport aux suicides. "Comme dans tout immeuble moderne, les mesures de sécurité sont importantes", mais "de là à dire que France Télécom impose des gardes-fous systématiques sur ses bâtiments, c'est un peu rapide".
"On voit clairement une recherche du sensationnalisme dans la manière de présenter les choses".

Le monde avance…

Johanny

vendredi 11 septembre 2009

La Tour Granite, 1ère Tour HQE en France

 

La tour Granite a été inaugurée le 15 décembre 2008. Le prisme de 184 m de hauteur (37 étages), signé par l'architecte Christian de Portzamparc, est le premier IGH (immeuble de grande hauteur) certifié NF Bâtiment tertiaire-démarche HQE (Haute Qualité Environnementale).

Cette tour est la troisième tour la plus haute de la Défense, après les tours Total et T1.  
Commandée par la Société générale et confiée à une société de promotion associant Nexity et Vinci, elle se dresse face aux tours Société générale, dont les capacités sont insuffisantes. Comme ces dernières, la tour Granite possède un toit largement incliné. La tour Granite doit s'ajouter aux deux tours existantes de la Société générale (Chassagne et Alicante).


Longtemps annoncé avec une hauteur de 230 m, le projet de l'architecte Christian de Portzamparc a dû être revu, à la demande de la Société Générale à la suite des attentats du 11 septembre 2001, aux États-Unis. Les travaux ont commencé début 2005 malgré les nombreux retards. Avec l'avant de la tour en forme de proue de bateau, la tour Granite fait face à la ville de Nanterre. Une passerelle relie Granite à Chassagne et Alicante. La tour Granite profite notamment de technologies permettant des économies d’énergie.

 

Source : http://fr.wikipedia.org

Johanny

lundi 31 août 2009

Les routes de demain : une nouvelle source d’énergie

Dans notre contexte actuel de développement des énergies renouvelables, on cherche de nouvelles manières de fabriquer une énergie propre. Scott Brusaw, un ingénieur américain, à la tête de la société Solar Roadways a mis au point un système qui permettrait de générer de l’énergie, en utilisant les routes tout en optimisant la sécurité. En effet, ne sont-elles pas de longues bandes de terre qui sont constamment exposées au soleil, surtout suivant les régions? Alors pourquoi ne pas en tirer avantage ? Il a créé un système à trois bandes pour remplacer le revêtement de la route, la première couche serait translucide susceptible de laisser passer les rayons du soleil ; celle du milieu contient de l’électronique, des led, et les cellules photovoltaïques qui capturent l’énergie solaire, l’ électricité serait stockée et utilisée pour chauffer la route et améliorer les conditions de circulation en hiver, faire fondre le verglas ou la neige…

L’énergie sur les routes

http://www.artfx-studio.com  La dernière couche devrait protéger de l’humidité tout en étant capable d’assurer la communication avec le reste du réseau électrique. Et donc fournir en énergie les communes des alentours. Alors si tout le réseau routier était équipé par son système, cela pourrait fournir de l’électricité à tout le pays d’ici cinq ans. En attendant un prototype d’une telle route sera prochainement testé sur une cinquantaine de kilomètres dans l’état de l’Idaho, entre les villes de Sandpoint et de Cœur d’Alene.

En Oregon, un autre projet est en cours : à Tualatin sur l’échangeur entre Intersate 5 et Intersate 205, l’électricité est accumulée le jour avec l’énergie solaire et sert la nuit pour éclairer l’autoroute. Grâce à un système photovoltaïque qui couvre environ 744 m2, une bande de panneaux solaires longue comme deux terrains de football sur moins de deux mètres de large et produit 112 000 kwh par an, soit 28 % des besoins du réseau. Le service des transports de cet Etat réfléchit à une suite, avec un projet qui génèrerait 2 millions de kwh par an (ce que consomment 182 foyers). http://www.artfx-studio.com

les bénéfices du système

D’ailleurs, il est également question de doubler les murs anti-bruits de panneaux solaires dans les parties résidentielles, afin de générer aussi de l’électricité. De son coté, Michael Hulen président de Novotech, a mis au point le système Roadway Energy Systems (RES), en collaboration avec le Worcester Polytechnic Institute, dans le Massachusetts : il s’agit de chauffer de l’eau sous l’asphalte qui est exposé au soleil, grâce à un réseau de tuyaux situé dessous. Parking de zones commerciales, d’aéroport … Le système, outre l’eau chaude, peut aussi produire de l’électricité. L’idée est de profiter de refaire le revêtement des parkings ou des routes pour installer ce Roadway Energy Systems.

En Europe, notamment aux Pays-Bas ou Ecosse, il existe des projets de nature proches, utilisant l’énergie thermo-solaire pour dégeler les routes, ou donner des instructions ou des renseignements aux conducteurs en fonction des conditions météo ou du trafic, par un marquage au sol, bref contribuer à rendre l’autoroute « intelligente ». Ooms Avenhorn Holding, Tipspit and WTH Vloerverwarming ont, aux Pays Bas, conjointement développé Road Energy Systems, une méthode permettant de réchauffer ou de refroidir les routes, mais aussi de récupérer la chaleur captée en été et de la stocker, là encore grâce à des tuyaux d’eau placés sous l’asphalte.

Après tant de lenteur à s’adapter aux grands axes de l’écologie, les Etats-Unis ainsi que le reste du monde semblent trouver petit à petit des solutions. En espérant que nous n’arriverons pas au seuil de non retour fixé par les scientifiques dans une dizaine d’années, on peut voir dans des projets comme celui-ci une marque d’espoir.

Source : http://veille.lecolededesign.com
Images and animation by Dan Walden  (3d54daniel@vfs.com)

 

Johanny

vendredi 24 juillet 2009

Tuile solaire

Après les panneaux solaires, on assiste à l'apparition d'un nouveau système qui capte lui aussi l'énergie solaire : les tuiles solaires. En remplacement des tuiles normales, la tuile photovoltaïque présente toutes les qualités habituelles d'une tuile, avec la production d'électricité en plus.

Les installations solaires ont le vent en poupe chez les particuliers, portés par les aides financières incitatives. Le succès est au rendez–vous pour les chauffe-eau solaires individuels, les systèmes solaires combinés et les installations photovoltaïques raccordées au réseau. Il ne restait plus qu’à lier esthétisme et efficacité. L'installation des panneaux solaires relève aujourd'hui d'une technologie éprouvée et largement diffusée. Une autre alternative est aujourd’hui possible : placer directement sur son toit des tuiles photovoltaïques, dont le rendement est optimal.


Les tuiles photovoltaïques sont posées par le couvreur qui ne change, a priori, pas ses habitudes de chantier. Les tuiles solaires sont posées à l'avancement, un seul geste suffisant à les relier entre elles. Comme les tuiles traditionnelles, elles reposent sur liteau par l'intermédiaire de tenons vissés mécaniquement. Elles s’intègrent harmonieusement à tout type de construction.
Faciles à monter, elles permettent aux particuliers, comme toutes les installations photovoltaïques, de produire tout ou partie de leur électricité, et de revendre le surplus à EDF au tarif préférentiel de 0,55 centimes d’euro le kWh.

Source : www.dkomaison.com

 
Johanny

mercredi 24 juin 2009

Bétons de chanvre

L’utilisation du chanvre dans l’isolation est en augmentation constante, et c’est sa mise en œuvre qui est désormais réglementée.

Il est composé de 3 produits : la chènevotte ou la partie bois du chanvre qui est broyée et concassée. C’est un matériau très léger, plutôt ligneux d’où des espaces d’air jouant le rôle d’isolant et sa perméabilité gère les vapeurs d’eau. Elle peut les absorber mais aussi les évacuer. C’est donc un matériau qui permet de réguler l’hygrométrie d’une construction. La chènevotte est ensuite associée à un liant de même nature, de même perméabilité, la chaux aérienne est idéale. Ces deux matériaux sont complétés par de la roche volcanique qui va améliorer la prise de la chaux mais surtout la résistance mécanique de l’ensemble.

Au final on obtient un matériau isolant inerte, c'est-à-dire qu’en plus de résister aux variations thermiques, il a la capacité de stocker des calories pour les rediffuser lentement. C’est ce qui se fait de mieux en matière de chaleur douce. En pratique ceux qui choisissent ce béton chanvre le font car c’est un produit naturel, qui laisse respirer le mur. Le chanvre peut être utilisé de différentes manières, au mur sur un coffrage perdu, dans une dalle isolante en béton de chanvre ou un mur de colombage reconstitué. Il peut aussi trouver sa place dans les toitures ou en enduit.

Face à l’augmentation de la demande la réglementation s’organise surtout au niveau des liants utilisés pour éviter des mélanges de produits peu compatibles. Ces problèmes de compatibilité pourraient nuire à la solidité de l’ensemble et à sa pérennité. Une réglementation s’impose afin de couvrir les utilisateurs

 

Source : www.ducotedespros.tv


Johanny

vendredi 19 juin 2009

Courtier en travaux

Le métier de courtier en travaux est apparu en 2000. Il intervient à la demande des particuliers souhaitant réaliser des travaux d’amélioration de l’habitat, d’extension ou de rénovation. Didier Boulle nous présente sa fonction. Beaucoup de temps au téléphone à fixer des rendez-vous, puis sur place pour présenter des entreprises qualifiées, sélectionnées par ses soins pour réaliser les travaux envisagés par le client.

courtier artfx
Après avoir reçu la demande de travaux du client et l’avoir rencontré, le projet est développé afin de définir les artisans susceptibles de réaliser le projet. Un fois le projet déterminé, le courtier mobilise les entreprises qui établiront un devis pour le client. Ce devis va ensuite être négocié par le courtier. Sur le chantier, le courtier s‘assure que les travaux avancent correctement. A la fin, il effectue une enquête de satisfaction du client pour « noter » les intervenants.


Pour les entreprises, le recours à un courtier est avantageux puisque c’est lui qui fait le démarchage commercial, d’où un gain de temps et aussi un avantage économique puisque cela dispense de publicité.
Côté client, le recours à un courtier facilite les travaux, rend les choses plus simples car c’est lui qui est en contact avec les professionnels, qui fait les démarches auprès d’eux. C’est une assurance tranquillité pour le propriétaire, qui se fie au portefeuille professionnel du courtier.


La qualité du courtier transparaît dans son choix des entreprises et dans sa capacité à appréhender le projet du client. Il n’a aucune responsabilité sur le chantier, n’est pas maître d’œuvre et n’est donc pas chargé de coordonner les travaux. C’est un interlocuteur mais pas un intervenant sur le chantier.
La fédération  a été crée récemment afin de donner plus de crédit à la profession, pour laquelle il n’existe pas de formation particulière. Un BTS technico-commercial est conseillé, doublé d’une bonne connaissance du secteur du bâtiment et d’un bon relationnel.

Source : www.ducotedespros.tv


Johanny

mardi 9 juin 2009

Al masdar, une éco-ville alliant architecture traditionnelle et technologie de pointe

En plein désert, à Abou Dhabi, dans les Emirats arabes unis, une ville ultra-moderne est construite de toutes pièces. Dédiée aux technologies du développement durable, sans voiture, sans aucune émission de gaz carbonique, elle accueillera 50.000 personnes et 1.500 entreprises.

Energie solaire pour tout le monde, bâtiments soigneusement étudiés pour réduire le besoin en climatisation, recyclage de l'eau, aucune voiture mais des transports en commun : Masdar City sera une ville à « zéro émission », de gaz carbonique s'entend (du moins si l'on exclut la respiration des habitants...). Ce projet ambitieux a été lancé en 2006 par l'émirat d'Abou Dhabi, le plus riche des Emirats arabes unis. Depuis longtemps, le prince héritier, le cheikh Khalifa bin Zayid Al Nahyan (qui est également président de la fédération des émirats), pense à l'après-pétrole. La diversification de

l'économie est au programme avec une priorité pour le développement des énergies renouvelables. L'émirat lui a consacré 15 milliards de dollars dans l'emblématique projet Masdar Initiative (masdar signifiant source).

Des rues ombragées pour minimiser les apports de chaleur... comme dans les villes traditionnelles. Cette image de synthèse (comme les autres de cet article) a été réalisée par le cabinet d'étude britannique chargé de l'architecture de la ville. © Foster+Partners/Masdar Initiative
La construction de la cité, qui s'étendra sur 6 kilomètres carrés, tout près de la ville d'Abou Dhabi, a officiellement été inaugurée le 9 février 2008 mais les véritables travaux viennent seulement de commencer. Le budget annoncé atteint 22 milliards de dollars pour cette infrastructure aux technologies sophistiquées. L'énergie solaire sera récupérée par des capteurs intégrés aux bâtiments eux-mêmes. Masdar City utilisera aussi l'énergie éolienne et les détritus organiques serviront à fournir un supplément d'énergie.

 

Les habitants n'auront pas à renoncer à la climatisation mais elle ne sera pas assurée par les habituels compresseurs. La ville elle-même sera conçue pour minimiser la dépense énergétique : orientation des bâtiments, zones ombragées, espaces de verdure et forçage de la circulation d'air naturelle. Les conditionneurs d'air eux-mêmes fonctionneront directement à l'énergie solaire.

Dans cette ville où l'automobile sera bannie, les habitants se déplaceront dans des mini-tramways, qui restent à inventer. © Foster+Partners/Masdar Initiative
Les transports seront assurés par un système de véhicules électriques autonomes, sur rails ou glissant par sustentation électromagnétique, dont on promet qu'ils permettront le voyage quasiment porte à porte. C'est du moins la demande du cahier des charges, pour lequel des candidats se sont déjà fait connaître. 

La consommation sera, assurent les promoteurs du projet, inférieure de 75% à celle d'une ville moderne du même type. Pour l'instant, ces chiffres et les techniques à utiliser restent du domaine de la prévision ou du vœu pieux. Mais le projet a bel et bien démarré et la ville pourra accueillir 50.000 personnes et 1.500 entreprises en 2015.

Source : futura-sciences.com


Johanny

mercredi 3 juin 2009

La tour Eiffel, une belle brune de 120 ans

La 19e campagne de rafraichissement des peintures de la "dame de fer" parisienne, qui fête ses 120 ans cette année, vient de commencer.

Construite en fer puddlé, la tour Eiffel, 324 mètres de haut, 10.000 tonnes, 120 ans cette année, est éternelle. Ou quasiment.
Car le fer de sa structure, constamment attaqué par la rouille, la pollution et les déjections d'oiseaux ne résiste que s'il est repeint régulièrement. "La peinture est l'élément essentiel de conservation d'un ouvrage métallique et les soins qui y sont apportés sont la seule garantie de sa durée", soulignait déjà en 1900 Gustave Eiffel lui-même.
Depuis 1889, la peinture de la tour est refaite tous les sept ans. Ce sera cette année la 19e campagne.
Tour à tour brun rouge, ocre brun, jaune varié, jaune brun et rouge brun, la tour Eiffel arbore depuis 1968 une couleur brevetée dite "brun tour Eiffel", choisie pour son harmonie avec le paysage parisien. Une couleur dégradée en trois tons, allant du plus foncé en bas au plus clair en haut pour qu'elle soit homogène vue du sol. "C'est la couleur qui va le mieux à la tour Eiffel, sa plus belle robe peut-être, en tout cas c'est ce que les cinéastes, photographes, les amoureux de Paris, les Parisiennes et les Parisiens, tous ceux qui aiment la tour Eiffel nous disent depuis maintenant 40 ans, nous avons décidé définitivement de garder le brun", a déclaré Jean-Bernard Bros, président de la Société d'exploitation de la tour Eiffel lors d'une conférence de presse.

Une équipe de 25 peintres insensibles au vertige vont appliquer 60 tonnes de peinture sur les 250.000 mètres carrés de surface de la tour parisienne, haute de 324 mètres avec ses antennes. La formule est sans piments de plomb, remplacés par du phosphate de zinc comme agent anticorrosion, et plus résistante à la pollution.
Les peintres, souvent des alpinistes déjà aguerris, sont équipés de harnais pour travailler sur les poutrelles et utilisent systématiquement des "lignes de vie" (câbles) qui leur permettent de se déplacer en ayant toujours un point d'attache.
Comme du temps de Gustave Eiffel, les peintres de la société grecque retenue utilisent des méthodes traditionnelles: pas de pistolet, leurs pinceaux et brosses sont attachés à leurs bras pour éviter toute chute sur des visiteurs.
Ils commenceront par le sommet de la tour pour terminer à sa base, en suivant une méthode rigoureuse: pour les zones les plus corrodées, mise à nu, première couche d'antirouille, renforcement antirouille et couche de peinture de finition. Pour le reste de la structure: nettoyage vapeur par haute pression, traitement des défauts, débouchage des trous d'écoulement et application de deux couches de peinture.
Une dernière opération d'une plus grande ampleur qui reste en suspens devra bien avoir lieu un jour ou l'autre : "il faudra la décaper", prévient M. Bros, car 200 tonnes de peinture environ subsistent des campagnes précédentes. Ce sera pour un autre anniversaire.

 

 

Source : Le Moniteur.fr

 
Johanny
www.artfx-studio.com

mercredi 20 mai 2009

Le Mur végétal dépolluant du Centre d'échanges de Lyon Perrache

La terre qui sert de matériau de base est constituée d’un mélange issu de matériaux de provenance locale (perlite, fibre de coco, pouzzolane, écorces de pins). Ce mélange remplit une structure composée de cellules grillagées, en acier galvanisé 100% recyclable. Sa densité uniforme évite ainsi les ponts thermiques et phoniques. A l’intérieur, courent des conduites d’eau et d’air pour l’irrigation et la ventilation.

A l’intérieur du mur, un cheminement de conduites pulse l’air dans le substrat. Les particules polluantes et les gaz à effet de serre sont aspirés et fixés par la terre humide. Les polluants sont précipités et dégradés par des microorganismes (principalement des bactéries) et les résidus absorbés par les plantes.

Le mur reste sec et sans odeur, ce qui est indispensable en milieu urbain.

Une étude expérimentale, réalisée en partenariat avec l’Université de Savoie, a permis de mettre en évidence une réduction d’environ 80% de la concentration atmosphérique des COV (Benzène, Toluène, Ethylbenzène, Xylène…).

Le mur végétalisé est également actif vis-à-vis des polluants précurseurs de l’ozone tels que les NOx (Oxydes d’Azote). Il a un double impact sur les oxydes d’azote :

- grâce aux végétaux : ces gaz sont absorbés par la surface foliaire et sont rapidement éliminés dans les tissus végétaux, sans accumulation.

- grâce à la biofiltration : une étude réalisée en 2005 en partenariat avec la Ville de Lyon a permis de mettre en évidence un effet significatif sur le dioxyde d’azote (environ 50% de réduction), que l’expérimentation in-situ de Perrache permettra de confirmer.
Les expérimentations réalisées sur le mur végétalisé du centre d’échanges permettront de confirmer les premiers résultats obtenus par cette étude et d’aller plus loin dans la compréhension des mécanismes de traitement. Ceci répond ainsi aux exigences de la Directive Européenne 2001/81/CE : faire baisser de 40% les dioxydes de souffre, les oxydes d’azotes et les COV d’ici 2010.

Le Centre d’Échanges de Lyon Perrache a ainsi été choisi pour répondre aux conditions spécifiques de pollution que représente ce lieu (Gare des bus, autoroute, parking).

Le mur possède en outre , grâce au volume de mélange terreux humidifié contenu entre ses parois, la capacité à jouer le rôle de «climatiseur d’air urbain» et d’isolant thermique lié aux propriétés du complexe substrat / végétaux. Un substrat de culture est un matériau qui se substitue au sol pour jouer, vis-à-vis de la plante, le rôle de support.

Doubler la paroi d’un bâtiment clos par un mur végétalisé pourrait faire diminuer de façon significative la consommation d’énergie, ce qui réduirait l’émission des gaz à effet de serre.

D’un point de vue esthétique, les murs végétaux renforcent l’attractivité paysagère de la ville. Ils remplacent la perspective de grandes surfaces bétonnées, par des zones végétalisées et fleuries et jouent un rôle dans la protection des façades vis-à-vis des tags ou des affichages sauvages.
Aujourd’hui, avec l’installation du mur végétal dépolluant, le Centre d’Échanges de Lyon Perrache bénéfice d’un «lifting». Il s’agit également, à travers cette action, de valoriser le bâtiment existant.

source : www.grandlyon.com

NeoCAD 
Johanny
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vendredi 15 mai 2009

Le béton flexible

Mise au point par l’Université du Michigan d’un nouveau béton flexible. L’idée de rendre le béton plus souple n’est pas neuve. La technique consiste à ajouter à la composition du matériau des fibres, qui vont glisser les unes contre les autres, évitant la rupture due à la rigidité du béton.

Les panneaux de béton modifié par polymère renforcé d'un treillis en fibre de verre résistant aux alcalis sont idéal pour les plafonds, poutres, colonnes, arches, arcades, murs, bref, partout où une surface courbe est désirée.

Les résultats sont impressionnants : le nouveau béton est 500 fois plus résistant aux fissures et 40% plus léger que le béton classique. Ce type de béton sera particulièrement intéressant pour augmenter la durée de vie des ponts et des routes.

L'utilisation de ce matériau pourra également avoir des conséquences écologiques, puisque l'on sait que les routes en mauvais état augmentent la consommation de carburant. Les chercheurs estiment que ce béton devrait durer deux fois plus longtemps qu'un béton normal, mais cela devra être confirmé par une autre étude.

NeoCAD 
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mercredi 13 mai 2009

L'énergie solaire photovoltaïque

est un thème au centre de l'actualité depuis la présentation du plan d'action du Grenelle de l'Environnement. Dans le cadre de sa stratégie de développement durable, le gouvernement français s'est engagé à améliorer la performance énergétique des bâtiments neufs ou existants en favorisant les énergies renouvelables et en particulier l'énergie solaire photovoltaïque. Grâce aux programmes nationaux offrant des incitations financières (telles que l'obligation pour EDF de racheter l'électricité des particuliers à un tarif attractif), le marché français de la filière du photovoltaïque a connu une progression de 122 % entre 2005 et 2006.

Dans le domaine du , de plus en plus d'architectes choisissent le dans leur démarche HQE®. Cette tendance s'amplifiera probablement avec les progrès accomplis en architecture globale des systèmes photovoltaïques, à savoir l'intégration des systèmes dans les produits du bâtiment .

L'énergie solaire photovoltaïque ne doit pas être confondue avec l'énergie solaire thermique (qui produit de la chaleur à partir du rayonnement solaire infrarouge afin de chauffer de l'eau ou de l'air). L'énergie photovoltaïque convertit directement l'énergie lumineuse en énergie électrique par le biais de modules photovoltaïques composés de cellules solaires (photopiles). Selon les besoins, l'électricité produite peut être utilisée pour l'alimentation d'un site isolé ou revendue en tout ou partie au réseau de distribution.

Pour en savoir plus sur le site des éditions du moniteur , cliquez ici

 

 

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Johanny
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lundi 27 avril 2009

Les 10 architectes vont plancher sur le projet du Grand Paris

 

Nicolas Sarkozy a reçu, le  05 juin 2008, les candidats désignés pour concevoir le futur aménagement de la capitale et de sa périphérie.

« ! » En dévalant le perron de l'Élysée, l'urbaniste Michel Cantal-Dupart résumait ainsi la consigne présidentielle de travailler rapidement et de proposer du concret pour un futur Grand Paris. Hier matin, Nicolas Sarkozy recevait, en effet, les architectes représentant les dix équipes sélectionnées dans le cadre de la consultation lancée depuis la fin 2007 par le ministère de la Culture pour réfléchir à la métropole parisienne du XXIe siècle.

Parmi une quarantaine de candidats, un jury a choisi, le 21 mai dernier, de confier la tâche de rêver ce fameux Grand Paris aux Français Jean Nouvel, associé à Michel Cantal-Dupart et Jean-Marie Duthilleul, Christian de Portzamparc, Roland Castro, Antoine Grumbach, Yves Lion, Djamel Klouche, au Britannique Richard Rogers, aux Italiens Bernardo Secchi et Paola Vigano du Studio 08, aux Néerlandais de l'agence MVRDV et, enfin, à l'Allemand Finn Geipel.

Tous ont constitué des équipes fournies, rassemblant aussi bien des chercheurs, des écrivains, des philosophes que des sociologues. Ils ont désormais jusqu'à la fin janvier pour penser les frontières pertinentes d'une grande agglomération-capitale, à l'identité forte et pour imaginer les solutions d'un aménagement cohérent. « Il n'y avait pas eu de réflexion sur la ville à cette échelle depuis très longtemps », constatait hier Christian de Portzamparc.

« Comme au temps de Haussmann »
Un tel projet de Grand Paris tient particulièrement à cœur à Nicolas Sarkozy. Le président de la République avait donné le top départ de cette réflexion lors de l'inauguration de la Cité de l'architecture et du patrimoine en septembre 2007. Et depuis le gouvernement s'est adjoint les services d'un secrétaire d'État chargé du Développement de la région capitale, en la personne de Christian Blanc. Hier, Nicolas Sarkozy a donc rappelé toute l'ambition de ce projet à la plupart des s (à l'exception notamment de Jean Nouvel, parti recevoir, lundi, son prix Pritzker aux États-Unis).

« Le président a envie que la France redevienne leader en matière architecturale et qu'elle retrouve un moment de grand souffle comme au temps de Haussmann », expliquait la ministre de la Culture, Christine Albanel. Et si la consultation est dite de « recherche et développement », pas question pour ses participants de se cantonner aux grandes théories, si brillantes soient-elles.

« C'est assez inhabituel, on nous demande à la fois de conceptualiser et de produire des projets, d'être théoriciens et hommes d'action », remarquait Christian de Portzamparc. Le président entend disposer dans sept mois d'un certain nombre de propositions concrètes qui pourraient être mises en route avant la fin de son mandat. Dès hier, certains des participants évoquaient d'ailleurs quelques pistes à explorer (voir ci-dessous).

Au terme de la réflexion, il ne s'agira pas de décréter que les solutions d'une des dix équipes l'emportent sur les autres mais de faire la synthèse de l'ensemble des projets. D'ailleurs, les participants ne s'estiment pas en compétition. « On se connaît tous et on s'apprécie. Nous avons envie de travailler ensemble », remarquait Michel Cantal-Dupart. Ils auront justement l'occasion de confronter leurs points de vue lors de trois grands rendez-vous. Nicolas Sarkozy a également insisté sur la dimension populaire de cette réflexion. Pour que les Franciliens puissent s'approprier le débat, un site Internet devrait être mis en place. Le président aurait même prononcé le mot de « référendum ». Surtout, la fin de la consultation donnera lieu au début de l'année prochaine à une exposition à la Cité de l'architecture et du patrimoine.

Enfin, l'Élysée a décidé de laisser d'abord les équipes réfléchir avant de trancher la question de la gouvernance du futur Grand Paris.

Source : www.lefigaro.fr

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jeudi 23 avril 2009

Basilique-cathédrale Notre-Dame-de-la-Treille de Lille

La basilique-cathédrale Notre-Dame-de-la-Treille est la cathédrale de Lille. De style néogothique, elle est située dans le quartier du Vieux-Lille et abrite une statue miraculeuse de la Vierge Marie, Notre-Dame de la Treille, dont l'existence était déjà attestée au xiie siècle.

Sa construction a débuté en 1854 pour s'achever en 1999 par une façade très moderne et sobre, grise à l'extérieur et orange translucide à l'intérieur.

La façade principale a été inaugurée en 1999.
Conçue par l'architecte Pierre-Louis Carlier, elle est totalement indépendante du reste de l'édifice. Sa partie centrale est composée d’une ogive de 30 mètres de haut, tapissée de 110 plaques de marbre blanc de 28 millimètres d’épaisseur, que soutient une structure métallique de Peter Rice.

Elle contient un vitrail circulaire de 6,5 mètres de diamètre, dessiné par Ladislas Kijno, constitué de 20 plaques de verre trempé, insérées dans une armature inox. Le thème de la Résurrection y est évoqué notamment à travers le visage du Christ, mais on peut aussi y apercevoir l’arbre de Jessé, le roi David jouant de la harpe, saint Michel terrassant le dragon, un mouton portant un oriflamme, le symbole du Saint-Esprit, les trois lettres de Pax, un agneau pascal, des fruits, l’image de Notre Dame de la Treille, les feuilles de la vigne, la clé de Saint Pierre, un ciboire et une hostie, un poisson avec le chrisme grec IXTUS...

Le portail principal de 5 mètres de haut a été réalisé en verre et en bronze par Georges  Jeanclos. Son décor reprend le thème d’une treille de ceps sur laquelle s’accrochent des groupes de dormeurs tandis que le pilier central porte une Vierge. La façade comprend également deux portails latéraux réalisés par Maya Salvado Ferrer sur la base des esquisses de Jeanclos décédé trop tôt pour achever ce projet.

En 2006, Notre-Dame-de-la-Treille est retenue pour recevoir le Grand Orgue du studio 104 de la Maison de la Radio. Il y est installé en 2007.

Source : wikipedia

 

 

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mercredi 1 avril 2009

Sac de ciment « prêt-à-porter »

En 2002, toute une profession avait décidé d'améliorer les conditions de travail sur les chantiers en adoptant un nouveau conditionnement des sacs de ciment : le 35 kg, en remplacement des traditionnels 50 kg. Cette initiative, prise par les organismes représentatifs de l'ensemble des professionnels de la maçonnerie, du négoce des matériaux de construction et du ciment, s'inscrivait dans une réflexion globale et une volonté commune de contribuer à une amélioration significative des conditions de travail.
Aujourd'hui, un producteur décide d'aller plus loin. Le groupe Vicat, spécialisé dans le Ciment, le Béton Prêt à l'Emploi (BPE) et les Granulats, lance sur le marché un sac de ciment de 25 kg avec poignée et ouverture facile. Il veut ainsi apporter sa contribution aux efforts réalisés dans l'amélioration du confort d'utilisation de ses clients.

Commercialisé par les négociants à partir d'avril 2009, après avoir été testé pendant quelques mois en région Rhône-Alpes, ce sac « prêt-à-porter » dispose d'une poignée, d'une languette et des rabats qui s'ouvrent seuls sous le poids du ciment, générant ainsi moins de poussière à l'ouverture qu'un sac classique. Il facilite également une utilisation en plusieurs fois, tout en garantissant une bonne conservation et un minimum de déperdition du produit lors des ouvertures successives.Vicat 3D Artfx 2
Ce sac, à la double certification CE + NF, est vendu avec un ciment courant de type CEM II, utilisé pour les bétons d'ouvrages courant armés ou non, les bétons de fondations ou pour les travaux en milieu non agressif, les dallages courants ou encore les travaux de maçonnerie. Son confort d'utilisation le rend parfaitement adapté aux travaux en hauteur.
Notons que les sacs sont fabriqués par les Papeteries de Vizille, filiale du groupe Vicat.

Source : Frédérique Vergne | LE MONITEUR.FR

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